Gisèle Mariette a écrit cette comédie en deux actes comme un Feydeau. Elle pousse le style
vaudeville avec des personnages caricaturaux et amplis d’humanité, pour nous proposer une peinture sociale qui aborde avec dérision les thèmes de la (les) richesse (s), du deuil et le respect des dernières volontés.

Crée à Liège en avril 2025 à La Comédie en Île, cette pièce a déjà rencontré un beau succès auprès du public venu nombreux assister à la création.

Zézette est une dame « simple d’esprit » de 68 ans. Elle hérite seule, au décès de sa maman, d’une véritable fortune. Cerise, une maman solo de 45 ans, s’est improvisée la tutrice de Zézette depuis pas mal d’année. Elle va essayer de l’aider à traverser cette douloureuse épreuve. « C’est vrai, c’est triste, une maman, on n’en n’a qu’une… »

Mais quand le notaire, un certain Jean Farine, s’aperçoit que la mère de Zézette possédait une  œuvre d’art originale d’une valeur inestimable, son intérêt propre va prendre le dessus sur celui de sa cliente. Ainsi, le public va assister ébahi aux avances d’un notaire ivre de joie après cette découverte.

Mais dans le « petit monde » de Zézette, rien ne se passe comme on pourrait le penser. Et de rebondissement en coup de théâtre, les spectateurs jubilent en découvrant une surprenante résolution.